Au XIXe siècle, les cartes de Noël faisaient peur tempsreel.nouvelobs.com
Une rangée de grenouilles foudroyées sur place, doublée d'une obscure morale : quoi de mieux pour souhaiter un joyeux Noël à ses proches ? Comme le montre cette image partagée sur Flickr par les archives de la Nouvelle-Écosse (Canada), certaines cartes de vœux anglo-saxonnes de la fin du XIXe siècle versaient volontiers dans l'humour noir. D'autres exemples dans la suite de ce diaporama.
"Un joyeux Noël à vous", indique cet homme-légume absolument pas inquiétant, issu d'une carte de vœux des années Comme l'a expliqué la BBC dans un article relayé par "Slate", les gens de l'ère victorienne ne voyaient pas forcément Noël comme une fête chrétienne, mais comme l'occasion de s'amuser.
"Que votre Noël à vous soit joyeux" (plus joyeux que celui de ce rouge-gorge, comprend-on).
Un bonhomme de neige bien sinistre. Comme l'indique la BBC dans son article, ces cartes de vœux à la tonalité dérangeante étaient rares comparées aux cartes festives classiques.
Décidément, les grenouilles avaient la cote quand il s'agissait de montrer des cadavres. "Un joyeux Noël à vous !" précise le texte, dès fois que le destinataire s'inquiéterait de recevoir cette image quelque peu menaçante…
Des têtes d'enfants dans des fleurs... Tout va bien.
Les "compliments de la saison", avec un singe faisant le portrait d'un chien.
Qui a mangé le pudding ? Le coupable est tout trouvé. Grâce aux rayons X.
Un chien anthropomorphique en costume de marin.
Père Noël ou lutin ? L'ambiance en tout cas n'est pas à la fête.
Une image d'inspiration fantastique.
Les premiers lolcats ?
Nous n'avons pas la clé de cette parade sauvage.
Enfin, un traineau dont l'attelage est constitué de cochons. Joyeux Noël à tous.
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