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Compte-rendu principal nº1: Comprendre le défi de l’Éducation en Afrique subsaharienne : politique et institutions DIALOGUE DE CABRI SUR L’ÉDUCATION.

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1 Compte-rendu principal nº1: Comprendre le défi de l’Éducation en Afrique subsaharienne : politique et institutions DIALOGUE DE CABRI SUR L’ÉDUCATION

2 Structure 2 1.L’état actuel de l’éducation en Afrique subsaharienne Niveaux des dépenses consacrées à l’éducation Sources de financement Niveau d’instruction (acquis éducatifs) 2.Stratégies clés d’amélioration de l’offre et de la qualité de l’éducation Augmenter l’accès Améliorer la qualité Augmenter l’accès à l’enseignement secondaire et supérieur 3.Élaboration du budget et financement de l’Éducation Structures et procédures budgétaires Renforcement des capacités

3 Introduction L’éducation est l’une des pierres angulaires du développement Réduction de la pauvreté Amélioration de la santé Promotion de l’équité Stabilité sociale et politique Compétences au service de la croissance économique

4 Principales réalisations L’éducation primaire universelle est sur le point d’être atteinte Progrès considérables en matière d’égalité entre les sexes Engagement permanent des gouvernements à l’égard des dépenses d’éducation Financement soutenu des donateurs

5 Défis à relever Améliorer la qualité Accroître l’accès à l’enseignement secondaire et supérieur Besoin permanent d’augmenter les fonds consacrés à l’éducation

6 Éducation en Afrique subsaharienne Médiane du PNB, dépenses publiques consacrées à l’éducation en % des dépenses publiques totales et en % du PNB, 2010 Médiane du PNB par habitant, en 2010 Dépenses publiques d’éducation en % des dépenses publiques totales Dépenses publiques totales d’éducation en % du PNB États Arabes Europe Asie Asie de l’ Amérique Amérique Asie du Afrique centrale et centrale Est et latine et du Nord et Sud et de subsaharienne de l’Est Pacifique Caraïbes Europe de l’Ouest l’Ouest

7 Éducation primaire universelle Taux brut d’admission au primaire, taux brut de scolarisation, taux net de scolarisation et taux d’achèvement en 2009 États Arabes Europe Asie Asie de l’ Amérique Amérique Asie du Afrique centrale et centrale Est et latine et du Nord et Sud et de subsaharienne de l’Est Pacifique Caraïbes Europe de l’Ouest l’Ouest Taux brut d’admission au primaire TBS dans le primaireTNS dans le primaire Achèvement du primaire

8 Indicateurs 8 Nombre total d’inscrits à un niveau d’enseignement donné, quel que soit leur âge, exprimé en pourcentage de la population de la tranche d’âge théorique qui correspond à ce niveau d’enseignement durant une année scolaire donnée. Taux brut de scolarisation Nombre d’inscrits à un niveau d’enseignement donné et appartenant à la tranche d’âge correspondant officiellement à ce niveau, exprimé en pourcentage de la population de cette tranche d’âge Taux net de scolarisation Nombre d'enfants qui atteignent la dernière année d'école primaire en pourcentage de la cohorte ayant l’âge correspondant officiellement à l’entrée au dernier niveau du primaire Taux d’achèvement du primaire Nombre total de nouveaux inscrits en première année du primaire, quel que soit leur âge, exprimé en pourcentage de la population ayant l’âge correspondant officiellement à l’entrée à l’école primaire. Taux brut d’admission (ou d’accès)

9 Taux d’achèvement de l’école primaire en 2009

10 Taux d’inscription à l’école primaire et de poursuite des études en Afrique subsaharienne en 2009 Taux d’admission faible Poursuite d’études élevée Taux d’admission élevé Poursuite d’études élevée Taux d’admission faible Faible poursuite d’études Taux d’admission élevé Faible poursuite d’études Taux de poursuite d’études (en %) Taux brut d’admission au primaire (en % )

11 Taux de scolarisation dans le secondaire et le supérieur 11 Secondary transition, gross enrolment ratio and tertiary gross enrolment ratio, 2009 États Arabes Europe Asie Asie de l’ Amérique Amérique Asie du Afrique centrale et centrale Est et latine et du Nord et Sud et de subsaharienne de l’Est Pacifique Caraïbes Europe de l’Ouest l’Ouest TBS dans le secondaireTBS dans le supérieur Transition vers le secondaire (formel)

12 Taux de scolarisation et de transition en Afrique subsaharienne

13 Niveau d’instruction et financement dans certains pays choisis d’Afrique subsaharienne Taux brut d’admission au primaire Taux net de scolarisation dans le primaire Total des dépenses publiques pour l’éducation en % des dépenses publiques totales Taux brut de scolarisation dans le primaire Produit national brut par habitant (en USD, en 2010)

14 Évolution des dépenses par étudiant par région, de 1990 à 2006

15 Financement apporté par les donateurs

16 Qualité de l’éducation Le simple fait de fréquenter l'école primaire en Afrique subsaharienne n’est même pas considéré comme l’achèvement des niveaux minimums de l’apprentissage Passe de la mesure de la qualité des INTRANTS à la mesure de la qualité des EXTRANTS Épreuves (ou contrôles) normalisés d’achèvement/de réussite – SACMEQ, PASEC, TIMSS, PISA

17 Survie à la 4 e année d’études du primaire avec des niveaux minimaux d’apprentissage Survie à la 4 e année d’études du primaire et achèvement du niveau minimal d’apprentissage Survie à la 4 e année d’études du primaire N’ont pas survécu à la 4 e année d’études du primaire

18 Stratégies pour améliorer l’offre et la qualité de l’éducation Conditions d’apprentissage minimales de base Améliorer la qualité de l’enseignement Augmenter l’accès aux écoles maternelles Réduire le coût de l’éducation pour les plus défavorisés Scolariser à l’âge approprié Augmenter l’accès à l’enseignement secondaire et supérieur Adapter le programme scolaire aux besoins du marché du travail Évaluation de la qualité de l’enseignement

19 Conditions d’apprentissage minimales de base Dans des pays tout aussi riches, il existe peu de données factuelles indiquant que l’augmentation des intrants éducatifs améliore la qualité Dans les pays pauvres, l’accroissement des intrants reste encore un facteur déterminant – dû en partie aux situations de dénuement extrême que connaissent de nombreuses écoles et communautés – Taille des salles de classe – Rapport élèves/enseignant – Manuels scolaires et matériel – Alimentation scolaire

20 Améliorer la qualité de l’enseignement Problèmes couramment identifiés, qui affectent la qualité de l’enseignement en Afrique subsaharienne : – l’absentéisme des enseignants – la sous-utilisation des enseignants – leur déploiement et leur maintien en poste dans les zones rurales et isolées – le manque de données précises sur la gestion des enseignants – et le statut précaire de certaines catégories d’enseignants Améliorer la qualité de la formation des enseignants – Peu de données probantes pour soutenir que le nombre croissant d’années de formation préalable améliore réellement la qualité des enseignants – Qualité de la formation préalable, de la formation en milieu scolaire et du tutorat Meilleure gestion des enseignants

21 Augmenter l’accès aux écoles maternelles L’école maternelle permet d’améliorer la santé des enfants et leur état nutritionnel Il existe une corrélation positive entre l’école maternelle et une meilleure réussite scolaire Certains pays de l’ASS ont rendu l’école maternelle obligatoire (pour un ou deux ans) Plusieurs projets novateurs ont été développés pour encourager « l’exposition précoce » à l’école et donc améliorer le niveau de préparation à l’entrée en première année du primaire

22 Réduire le coût de l’éducation pour les plus défavorisés Même l’école primaire obligatoire a des coûts s’y rattachant : – les frais non officiels – les livres – le transport – les uniformes – les coûts d’opportunité Effectuer le suivi des frais non officiels Réduire/subventionner le coût des uniformes et des livres Effectuer des transferts d’espèces aux élèves Paiements de nourriture ou de carburant Bons scolaires pour la fréquentation d’écoles privées?

23 Scolariser à l’âge approprié La scolarisation tardive à l’école primaire augmente les chances d’abandon L’inscription précoce d’enfants qui ne passeront probablement pas en première année du primaire est non seulement inefficace mais aussi démoralisante TBA en primaire

24 Augmenter l’accès à l’enseignement secondaire et supérieur Financement de l’enseignement secondaire et tertiaire a diminué en termes réels Demande sociale d’enseignement au-delà du primaire, est importante et croissante Croissance économique requiert des diplômés plus compétents et en plus grand nombre Financement accru est urgent Amélioration de la qualité et de la pertinence

25 Adapter le programme scolaire aux besoins du marché du travail Les institutions de l’ONU mettent l’accent sur “les compétences nécessaires pour la création d’emplois” Programme de base commun encore important jusqu’au 1 er cycle du secondaire Diversification de la spécialisation à partir du 2 e cycle du secondaire Gouvernement doit prendre l’initiative en déterminant un cadre de compétences et des normes de qualité Nécessité d’une planification intergouvernementale Partenariats avec le milieu d’affaire Deuxième chance pour les jeunes sans emploi

26 Évaluation de la qualité de l’enseignement Contrôles (ou tests) d’évaluation nationaux, régionaux et internationaux – Mesure la qualité de l’extrant plus tôt dans le système – lors de la 4 e, 6 e et 9 e années d’études – Planification basée sur des preuves – Utilisation plus efficace des ressources limitées – Revalorisation de l’enseignement et de l’apprentissage – Obligation de rendre compte

27 Structures et procédures budgétaires Réforme budgétaire CDMT mis en œuvre dans la plupart des ministères de l’Éducation en ASS – Ont conduit à une plus grande stabilité – La plupart des ministères sont en mesure de chiffrer les plans et les priorités à moyen terme en matière d’éducation D’autres domaines de la réforme budgétaire sont à divers stades de développement

28 Réforme budgétaire Des problèmes importants résident encore dans : L’exécution du budget Le suivi des dépenses Le contrôle des objectifs politiques La gestion des enseignants et des registres de salaire Les fuites de transferts de trésorerie destinés aux écoles La livraison du matériel pédagogique Le déploiement d’établissements scolaires

29 Exécution du budget, suivi des dépenses et contrôle Raisons des faiblesses dans ces domaines Pénuries de personnel qualifié tant aux postes de gestion financière qu’aux postes de gestion de l’éducation Systèmes administratifs inefficaces et faisant double emploi – surtout dans des situations de décentralisation Manque d’installations physiques Manque de matériel dur et de logiciel informatiques Mise en œuvre d’importantes solutions informatiques (telles que l’IFMIS) qui sont souvent trop ambitieuses et ne règlent pas les problèmes sous-jacents aux systèmes financiers et administratifs

30 Exécution du budget, suivi des dépenses et contrôle Raisons des faiblesses dans ces domaines (suite…) Le manque d’intégration des systèmes informatiques signifie bien souvent la répétition inutile de la collecte de données : – Gestion des bordereaux de salaire des enseignants (Ministère des Finances) et des ressources humaines (Ministère de l’Éducation) – La collecte de données SIGE est souvent répétée inutilement par l’approvisionnement en manuels scolaires, les systèmes de gestion des enseignants de districts, les bâtiments et les fournitures scolaires – L’implémentation d’un système intégré de gestion des données très technique ne règlera pas forcément ces problèmes L’élaboration du budget-programme ou basée sur les performances ( liée au CDMT) retourne souvent à l’élaboration du budget par poste, en l’absence de centres de coût clairement identifiables et responsables

31 Exécution du budget, suivi des dépenses et contrôle Raisons des faiblesses dans ces domaines (suite…) Les différentes priorités des ministères en matière de suivi/contrôle des dépenses impliquent souvent la répétition inutile de la collecte de données Les demandes d'indicateurs par différents acteurs en matière de suivi des dépenses et du contrôle de la mise en œuvre de la politique sont actuellement excessives – entraînant un gaspillage d'efforts et de collecte de masses de données qui ne sont pas utilisées. La décentralisation requiert DAVANTAGE d’expertise en matière de mise en œuvre budgétaire et de suivi des dépenses Modalités d’aide des donateurs et présentation de rapports dans de nombreux pays nécessitent encore l’existence de systèmes multiples

32 Renforcement des capacités en matière de planification et d’élaboration du budget de l’éducation Les changements au niveau des processus de planification et d’élaboration du budget, l’utilisation croissante de données pour orienter la prise de décision et les nouveaux systèmes informatiques impliquent qu’une plus grande diversité et profondeur de compétences sont nécessaires, à la fois au niveau des individus et des processus organisationnels Priorités pour le renforcement des capacités en matière d’éducation Mise au point du SIGE et gestion d’un système SIGE TIC et traitement des données Collecte, traitement et analyse des statistiques et indicateurs sur l’éducation Recherche, analyse et conseil en matière de politiques Suivi et évaluation Gestion des bordereaux de salaire et des enseignants Collaboration interministérielle Accroissement de l’utilisation des données en faveur d’une planification axée fondée sur des données factuelles

33 Questions à débattre – Existe-t-il forcément un compromis entre la quantité et la qualité de l'enseignement dispensé? – Quelles réformes budgétaires ont été mises en œuvre au sein du ministère de l‘Éducation de votre pays et dans quelle mesure ont- elles réussies à surmonter les problèmes évoqués ci-dessus ? – De quelle façon la décentralisation a eu un impact sur la mise en œuvre du budget de l'éducation ? – Des innovations ont-elles été mises en œuvre dans votre pays pour s’assurer que le financement atteigne les écoles et que les priorités politiques soient mises en œuvre ? – Quels sont les principales réussites et obstacles majeurs des programmes de construction scolaire que votre pays a connus?


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